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Sujets Parmi Tant D'autres Sur Ce Blog..

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    TOUTE INFORMATION SUSCEPTIBLE D’AIDER A RESOUDRE CES ENIGMES EST BIENVENUE Depuis des dizaines d’années, des familles se battent pour connaître la vérité sur le meurtre de leur enfant. Tous les cas recensés ici, n’ont toujours pas été élucidés. Un appel...
13 juillet 2007 5 13 /07 /juillet /2007 15:17

Nom Emile LOUIS
Surnom : 
Né le : 26.01.1934 à Pontigny (25 Kms d’Auxerre)
Mort le : encore en vie
Tueur en série Français
 
PREAMBULE
 
Émile Louis est un pervers sexuel, sadique, pédophile et tueur en série multi récidiviste français ayant commis des attentats à la pudeur, violé, séquestré, assassiné plusieurs femmes et jeunes filles dans l'Yonne et dans le Var.
Dernière Info Minute

22.10.2008 (source Le Parisien) L’enquête sur la mort suspecte en août 1997 de l’adjudant de gendarmerie Christian Jambert, le témoin clé de l’affaire des « disparues de l’Yonne » et le premier enquêteur à avoir débusqué le tueur en série Emile Louis, tourne au mauvais scénario. Plusieurs os du crâne du sous-officier retrouvé mort à son domicile d’Auxerre avec deux balles dans la tête, tirées sous des angles différents, ont disparu. C’est lors d’une exhumation effectuée en décembre 2007 que l’un des experts, la professeur Dominique Lecomte, directrice de l’Institut médico-légal de Paris, a constaté la disparition de plusieurs éléments du crâne, ce qui n’était pas le cas lors de la première exhumation en mars 2004. Des constatations confirmées aussi par l’expert balisticien : « Alors que le crâne était complet lors de l’autopsie du 31 mars 2004, nous avons constaté l’absence de mâchoire inférieure… » Il manque en effet la mâchoire inférieure, une partie de l’os orbital gauche transpercé par les balles et la selle turcique, un os de la boîte crânienne sur lequel les projectiles ont ricoché ainsi que les dents de la partie supérieure. La fille de la victime « s’étonne de ces disparitions » alors que le corps de son père avait été escorté par des gendarmes lors de cette seconde exhumation.

  
La vie familiale de EMILE LOUIS
 
Père
Il est abandonné par ses parents quelques jours après sa naissance. Né de père inconnu
Mère
Il est abandonné par ses parents quelques jours après sa naissance. Né de mère inconnue
Famille adoptive
Famille CAMMIER installée dans l’Yonne
Le père adoptif est artisan maçon, fossoyeur.
Sa mère adoptive est qualifiée d’autoritaire et froide, trait de personnalité dont il s’imprègne entièrement.
Frères et sœurs (adoptifs)
Il est élevé avec deux autres enfants de la DASS+ les 3 enfants de la famille CAMMIER.
Enfance
Il est un enfant difficile et solitaire. Il est surnommé « le bâtard ». Il apprend à 14 ans que ses parents adoptifs ne sont pas ses vrais parents.
Scolarité
Quitte l’école définitivement en 1951 (à 17 ans). Il a obtenu au cours de scolarité son certificat d’études.
 Service Militaire
S’engage en 1951 dans la marine nationale et part en Indochine. Il est affecté à la morgue d’un navire hôpital.
Vie maritale
Il épouse en 1954 Chantal Delagneau (il a 20 ans). Divorcera en 1978.
Il se remariera en 1992 avec Chantal Paradis à Draguignan (Var)
Enfants
Il a deux filles (Maryline et Manoèle) et deux fils (Fabien et Fabrice).
Vie professionnelle
Travaille à la SNCF en 1963. Entre 1963 et 1971 : Il change très souvent de métier mais en 1971, il obtient le permis de chauffeur de bus puis il est embauché par la société de bus « Les Rapides de l’Yonne. »
 
Faits marquants dans la vie d’Emile LOUIS
 
Année non déterminée
Adolescent, il séjourne dans un centre de délinquance en Saône et Loire, où il sera violé.
 
1945 (Emile Louis a 11 ans)
 
Il survient un événement qui va marquer à jamais sa vision des femmes. A la Libération, des résistants ont fait venir ses deux soeurs sur la grande place du village, leur ont rasé le crâne car elles sont accusées d’avoir eu des relations sexuelles avec des Nazis.
 
1948 : (Emile LOUIS a 14 ans)
 
Il apprend que ses parents adoptifs ne sont pas ses vrais parents.
 
1954 (Emile Louis a 20 ans)
 
Il revient dans l’Yonne de son service militaire et commet son premier méfait : Il brûle une grange . Un psychiatre l’examine et le juge irresponsable. Il n’est pas jugé mais astreint à un traitement médicamenteux.
 
1975 : il prend pour maîtresse Gilberte Binoche Lémérorel, une collègue de travail. Elle le décrit comme autoritaire et alcoolique.
 
1978 : Il divorce de sa femme Chantal (dont il dit qu’elle n’est pas portée sur le sexe) et se met en ménage avec Gilberte Binoche Lémérorel.
 
Les victimes
 
1963
Les parents d’une jeune fille porte plainte contre lui. Il a tenté d’agresser leur enfant près d’une gare. L’affaire est classée sans suite mais son employeur la SNCF décide de le muter.
1975
Année où il aurait tué sa première victime (Françoise L).Il avoue ce crime mais se rétracte ensuite. Il l’aurait tué car celle-ci l’aurait rejeté.
A partir de cette année , Emile Louis multiplie les efforts pour être le transporteur attitré des jeunes filles attardées mentales, souvent issues de la DDASS, qui fréquentent les établissements de l’association pour adultes et jeunes handicapés.
Janvier 1977
Christine M (16 ans)
04.04.1977
Jacqueline WEISS (18 ans). La famille d’EMILE LOUIS était sa famille d’acceuil.
22.04.1977
Chantal G (18 ans)
Juillet 1977
Madeleine DEJUST (22 ans). Une des maitresses d’Emile LOUIS.
Juillet 1977
Bernadette L (18 ans)
Début 1979
Marine R (16 ans)
20.02.1981
Sylvianne Lesage ( 23 ans). Elle est élevée par la concubine d’Emile LOUIS. Elle sera découverte le 05 Juillet 1981.
Le profil de ses victimes est toujours le même. Ce sont des femmes fragiles, naïves, isolées qui sont choisies en s’efforçant d’abord de les aider, les séduire et de rassurer leurs proches avant de laisser parler les pulsions meurtrières.
 
L’enquête
 
05 Juillet 1981 : Le cadavre d’une jeune femme en état de décomposition avancée est retrouvé sous 30 cm de fumier dans un abri à bestiaux sur la commune de Rouvray. La victime a les mains liées par des lambeaux de vêtements. Un morceau de tissu est coincé dans la gorge. Face à l’accumulation des preuves matérielles contre Emile Louis, le gendarme Jambert insiste auprès du juge Bourguignon pour qu’il soit inculpé
 
28 Décembre 1981 : Le chauffeur de bus est arrêté et emmené à la prison d’Auxerre.
 
29 décembre 1981 En l’absence d’aveux, le juge Bourguignon décide de l’inculper quand même pour « homicide volontaire » pour le dossier Sylvianne
 
Spontanément, il avoue les agressions sexuelles répétées sur les trois enfants de sa concubine: Annie 16 ans, Daphné 12 ans, Nadia 12 ans.
 
Las de ne pouvoir avancer sur le dossier de Sylvianne, le juge demande à l’officier de Police Jambert de se concentrer sur le dossier des agressions sexuelles.
 
 
17.03.1983 : Claude et Monique Dunand des amis d'Émile Louis, sont inculpés et condamnés pour un commerce proxénète sadomasochiste barbare à Appoigny à 10 km au nord-ouest d'Auxerre avec de nombreuses jeunes filles et femmes issues de la DDASS. Leur réseau de clientèle serait étendu jusque dans les milieux importants d'Auxerre.
 
14 décembre 1983 : La cour d’appel de Paris le condamne à 4 ans d’emprisonnement pour
le dossier des agressions sexuelles mais également à l’interdiction de séjour à vie dans
l’Yonne. Au fil de la procédure, les faits ont été requalifiés en « attentat à la pudeur avec
violence ». Finalement, il bénéficiera d’un non lieu en février 1984.
 
Mars 1984 : Il est libéré, il part s’installer chez sa soeur à Fréjus.
Il s’installe par la suite à Draguignan, dans le Var. Il trouve un emploi dans une entreprise de pompes funèbres.
 
04 Mai 1984 : Avant de quitter Auxerre, le juge Bourguignon délivre un non-lieu dans le
dossier Sylvianne.
 
En 1984, le gendarme Christian Jambert (enfant de la DDASS) chargé de l'enquête de "l'affaire des disparues de l’Yonne" adresse au parquet d’Auxerre un rapport qui met en cause Émile Louis et des réseaux proxénètes sado-masochiste de l'Yonne qui exploitent les filles de la DDASS. Sept viols et assassinats commis à Auxerre et aux environs entre 1975 et 1979 sur des jeunes femmes de la DDASS déficientes mentales légères âgées de 16 à 22 ans. Le procureur de la République René Meyer à qui le gendarme Jambert remit son rapport n'ouvre pas d'information pour manque de preuves et demande informellement au gendarme de poursuivre l'enquête. Le rapport est égaré. Le gendarme se suicide sans explications officielles des suites d'une longue dépression excédé de ne pas être pris au sérieux dans l'affaire Émile Louis.(en août 1997, le suicide sera requalifié en assassinat).
 
1989 : Pierre CHARRIER , le directeur du centre de la DDASS d'Auxerre d'où viennent les sept jeunes filles est pris en flagrant délit à l'arrière d'une voiture en compagnie d'une handicapée de 22 ans dont il abuse sexuellement. Il explique qu'il aurait ainsi permis à la jeune femme de « s'épanouir affectivement ». Il est condamné à six ans de prison ferme.
 
 
1992 : en avril, il épouse en secondes noces, Chantal Paradis à Draguignan .Elle est en proie à la dépression après son premier divorce.Il prend sa retraite à Draguignan.
 
03.07.1996 : l’association de défense des handicapés de l’Yonne dépose une plainte au juge d'instruction B.LEWANDOWSKI pour enlèvement et séquestration dans "l'affaire des disparues de l’Yonne.". Les juge d’instruction et procureur de la république refusent la réouverture du dossier en février 1997 pour prescription, l'affaire étant ancienne de plus de 15 ans (en droit français, un crime est prescrit au bout de dix ans).
 
Les familles de victimes décident d'ultra médiatiser l'affaire en écrivant à l'émission télévisée « Perdu de vue » animée par Jacques Pradel. Ce dernier prend à cœur cette affaire et saisi l'occasion de faire monter son audimat en utilisant son émission pour recueillir des témoignages et jouer les journalistes d'investigation et faire bouger la Justice.
 
Dès lors, il faudra attendre Mai 1997, pour que la Cour d’Appel de Paris accède à la demande incessante des enfants disparues et jamais retrouvées d’ouvrir une information judiciaire sur les disparues de l’Yonne. Les motifs retenus qui n’entrent pas dans le champ de la prescription judiciaire sont « enlèvement et séquestration ».
 
1999, Marylin, la fille d’Emile LOUIS déclare avoir découvert chez sa mère (décédée) en 1998, un coffre qui contient des effets féminins, sur lesquels curieusement toutes les étiquettes sont arrachées. Le juge d’instruction décide de placer le coffre sous scellé et le confie à un laboratoire d’expertise génétique.
 
12.12.2000 Arrestation d’Emile LOUIS
 
18.12.2000 : Première extraction d’un squelette à l’endroit indiqué par Emile LOUIS. .Après analyse par les laboratoires, il s’agit de Jacqueline WEISS (tuée en 04.1977).
 
13.12.2000 : Sa seconde femme CHANTAL née PARADIS épouse LOUIS porte plainte contre son époux à Draguignan pour viol et tortures horribles après qu'il l'ait droguée aux médicaments entre 1992 et 1995, ainsi que sur sa fille Karine issue de son premier mariage, alors âgée de 14 ans (Karine a déposé plainte en janvier 2000 contre son beau-père pour agressions sexuelles). Émile Louis reconnaît les faits devant les enquêteurs puis nie tout en bloc et clame son innocence.
 
14.12.2000 : Il est écroué
 
04.01.2001 : Seconde extraction à l’endroit indiqué par Emile LOUIS. Après analyse par les laboratoires, il s’agit de Madeleine DEJUST (tuée en 07.1977), une des maîtresses d’Emile LOUIS.
 
Février 2002 : La Cour de Cassation admet que la prescription se s’applique pas dans les faits reprochés à Emile LOUIS . Il peut donc être renvoyé devant une Cour d’Assises.
 
 
En 2004, le 26 mars, il est condamné en première instance à 20 ans de réclusion, assortie d’une période de sûreté des deux tiers, par le Tribunal Correctionnel de Draguignan pour viols avec actes de torture et de barbarie sur sa seconde épouse et viols sur sa belle-fille, commis au début des années 1990.
 
Le 23 novembre 2004, Émile Louis reconnaît le viol et la séquestration d'Anne-Marie Ziegler rencontrée au milieu des années 1980. Ils étaient voisins de mobile-home dans un camping du Var. Elle n’a pas porté plainte de peur qu’il ne s’en prenne à ses trois enfants.
Le 25 novembre 2004, il est condamné en première instance par la Cour d’Assises de l' Yonne à l'âge de 66 ans à la réclusion criminelle à perpétuité avec peine de sûreté de 18 ans (la peine maximale) après onze ans de procédures judiciaire pour meurtre des sept viols et assassinats de l'affaire des disparues de l’Yonne. Il est également condamné à verser 60 000 euros de dommages et intérêts au titre du préjudice moral pour les enfants de Bernadette Lemoine et Françoise Lemoine, 30 000 euros pour la mère de Chantal Gras, 15 000 euros pour les sœurs et les frères des sept victimes, 5 000 euros à chacune des 15 parties civiles au titre des frais de procédure. Ne pouvant pas verser de tels montants, c’est l’État, via la commission d'indemnisation des victimes d'infractions (CIVI) qui dédommage les parties civiles. Les familles des victimes réclament de poursuivre le procès pour savoir ce qui est arrivé aux cinq des sept disparues dont on n’a pas retrouvé les corps. Émile Louis fait appel.
 
Le 12 octobre 2005, la fille aînée d'Émile Louis, Marilyne Vinet entendue comme témoin au procès de Draguignan déclare avoir été violée par son père alors qu’elle avait 5 ans et 19 ans.
 
Le 14.10.2005, il est condamné à 30 ans de réclusion, assortie d’une période de sûreté des deux tiers par la cour d’appel des Bouches-du-Rhône, pour viols avec actes de torture et de barbarie sur sa seconde épouse et viols sur sa belle-fille, à Draguignan, au début des années 1990. Soit 10 ans de plus qu'en première instance (en plus de sa peine de réclusion à perpétuité pour l'affaire des disparues de l’Yonne).
En juin 2006, les douze jurés de la Cour d'appel de Paris confirment une peine identique à la première instance pour l'affaire des disparues de l’Yonne : réclusion criminelle à perpétuité avec peine de sûreté de 18 ans et dédommagement des famille de victimes.
 
Émile Louis et son avocat Alain Thuault affirment le désir de se pourvoir en Cour de cassation
 
Le plus
 
Émile Louis a confessé qu’il croyait en Dieu « qui pardonne à ceux qui l’ont offensé... ». Il exprime le désir de se retirer du monde entier et de finir ses jours dans un monastère dans un isolement total et dans la prière.
 
Émile Louis soufre en plus d’une cardiopathie coronarienne et d’un diabète qui l’obligent à recevoir des injections d’insuline quotidiennes.
 
 
 
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